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4 avrilfresque participative — La fresque de l'amour
14 avrilconcert augmenté — Le chant des atomes
16 avril projection et rencontre — Littérature et free cinema
17 avrilateliers & conférence — Autour de Béatrix Beck / Les Parleuses
17 avrilperformance — Hula hoop !
21 avrilconcert & lecture jazz — Le jazz en colère
22 avril conférence — Traduire les langues rares
22 avrillecture musicale — Lettres égyptiennes
23 avrillecture musicale — Poésie des pierres
24 avrilconférence performée — Le double en littérature
25 avril atelier mail art — Voyages à poster
25 avrilconférence — Conférence anti-auto
25 avrillecture théâtrale — coup de théâtre aux Catacombes
26 avrildégustation & rencontre — Voyage des pappiles
26 avril marathone de lectures — Clôture du festival

 

 

 

 
 

samedi 4 avril 2020

Fresque participative / 14-19h


Fresque de l'amour

À l’occasion de la parution de son album Les Amoureux, Victor Hussenot propose à toutes et tous, petit.e.s et grand.e.s, de dessiner avec lui une fresque géante dont le thème principal sera ce grand moyen de transport qu’est l’amour. Muni de feutres Posca bicolores, l’auteur improvisera sur toute la longueur d’un mur blanc des situations, des personnages, des bulles… avec lesquels le public est invité à interagir, en dessinant, en prolongeant le trait des dessins ou en écrivant les dialogues des personnages dans les bulles vides. La fresque restera exposée du 4 au 12 avril.

Être amoureux, c’est parfois gravir des montagnes à pic, traverser des océans, affronter des orages… mais c’est aussi et surtout rêver à deux, et dessiner dans la même direction. Avec poésie et humour, Victor Hussenot déploie sous nos yeux les variations de la mélodie amoureuse, où les lignes, les couleurs et les formes se substituent aux mots.

// Le Point Ephémère
200 quai de Valmy, Paris 10e / M° Jaurès
Entrée libre



En raccord(s) avec
Les Amoureux
de Victor Hussenot, 2019.
Éditions La Joie de lire



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mardi 14 avril 2020

Concert augmenté / 20h45


Le chant des atomes

Membres du Laboratoire Novalis, imaginé (à la croisée de la poésie, de la musique et de la science) par l’éditeur Dominique Tourte à l’occasion de son entreprise éditoriale pour la publication du Système poétique des éléments, le duo Kairos (Dominique Vasseur et Jacques Derégnaucourt) propose un spectacle inédit donnant à entendre « le chant des atomes » : transposition dans le champ sonore du tableau périodique des éléments conçu par le chimiste russe Dmitri Mendeleiev en 1869. Un Chant des atomes saisi comme le possible écho des réalités inaudibles du monde et de la nature, où musique électronique, improvisation instrumentale, images et fragments poétiques dessinent une tentative de « romantisation » du monde.

À l’occasion des 150 ans de la classification périodique des éléments conçue par Mendeleïev, l’éditeur Dominique Tourte a confié à 118 poètes, selon un dispositif calqué sur les laboratoires scientifiques, l’écriture d’un texte sur chacun des 118 éléments chimiques, ouvrant ainsi un nouveau champ interdisciplinaire que les éditions Invenit cherchent à explorer : les liens entre la poésie et la science.

// Théâtre de la Reine blanche
2 bis Passage Ruelle, Paris 18e / M° La Chapelle
Entrée : 7€ (préventes ici)



En raccord(s) avec
Le Système poétique des éléments
, ouvrage collectif
Éditions Invenit, 2019



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jeudi 16 avril 2020

Projection & rencontre / 19h30


Les angry young men et le free cinema

À l’occasion de la parution de Samedi soir, dimanche matin de l’écrivain anglais Alan Sillitoe, les éditions L’échappée vous invitent à une soirée cinéma consacrée à deux courants artistiques qui se sont fait écho dans l’Angleterre des années 60 : le free cinema et le courant littéraire des angry young men. La projection du film La Solitude du coureur de fond de Tony Richardson, inspiré du roman éponyme d’Alan Sillitoe, sera introduite par une présentation du contexte de la création dans cette Angleterre d’après-guerre par l’éditeur du livre, Jacques Baujard.

Dans Samedi soir dimanche matin, Arthur Seaton a vingt et un ans, et sa vie à Nottingham semble déjà toute tracée dans cette Angleterre de l’après-guerre. Sa morne semaine est rythmée par les cadences infernales de l’usine. Arrive alors le week-end où il peut enfin se défouler et exprimer sa rage de vivre. Dans La Solitude du coureur de fond, Colin Smith est un jeune révolté qui, à la suite d’un vol commis dans une boutique, est placé dans un centre d'éducation surveillée. Pratiquant la course de fond, il s’évade de son quotidien en rêveries durant ses courses solitaires.

// Écoles Cinéma Club
23 rue des Écoles, Paris 5e / M° Maubert-Mutualité
Entrée libre



En raccord(s) avec
Samedi soir dimanche matin
d'Alan Sillitoe
Éditions L'échappée, 2019



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vendredi 17 avril 2020

Ateliers & conférence / à 17h


Autour de Béatrix Beck / Les Parleuses

Chaque mois, les Parleuses remettent sur le devant de la scène des autrices du matrimoine littéraire. Pour cette séance, c’est l’écriture inclassable de Béatrix Beck qui sera mise à l’honneur, présentée par Justine Arnal. Les participants auront le choix entre un atelier d’écriture et un atelier de lecture par arpentage*, et la séance se clôturera par la lecture d’un texte inédit de Justine Arnal consacré à l’œuvre de Béatrix Beck. Aucune préparation n’est nécessaire pour participer aux ateliers.
* La lecture par arpentage est une méthode de lecture qui permet de lire à plusieurs en un temps limité…
17h-19h / ateliers : d’écriture, animé par Justine Arnal de lecture par arpentage 19h30-20h30 : conférence sur l’œuvre de Béatrix Beck par Justine Arnal

Autrice inclassable, Béatrix Beck a créé une œuvre hétéroclite, en avance sur son temps, parfois provocatrice. Encore souvent méconnue de nos jours, malgré son prix Goncourt en 1952, ses romans, nouvelles et poèmes sont réédités depuis 2010 par les éditions du Chemin de fer. Les mêmes éditeurs ont également édité deux textes de Justine Arnal, Les Corps ravis et Finir l’autre, qui offrent des résonances frappantes avec l’œuvre de Beck.

// Bibliothèque publique d’information
19 rue Beaubourg, Paris 4e // M° Rambuteau
Entrée libre



En raccord(s) avec
Une lilliputienne
de Béatrix Beck
Éditions du Chemin de fer, 2019



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vendredi 17 avril 2020

Performance / à 21h


Hula hoop !

À l’occasion de la parution du 3e tome de la série Hula Hoop de Tom de Pekin, journal intime dessiné au printemps 2017 à l’Ile de la Réunion et en été 2018 autour de Montréal, le festival Raccord(s) vous invite à découvrir une performance inédite, mêlant les formes artistiques : du hula hoop avec Bertrand Bertrand ; du chant avec Jérôme Marin, meneur de cabaret bien connu sous le nom de Monsieur K ; de la lecture avec des textes inédits lus par Tom de Pekin autour de ses dessins, projetés pendant la performance.

« Entre le fleuve et les océans, la masse bleue et la clarté du ciel, les cercles tournoient absorbant la forme de nos fragiles silhouettes. Il fallait réunir les deux et trouver à travers ce mélange, un passage qui allait nous permettre d’échapper à ces pensées trop présentes pour réussir à s’en séparer. Nous voulions donner de l’énergie à nos corps et à nos âmes pour qu’elle danse au centre du temps qui passe. Les histoires changent, les amitiés restent. » Tom de Pekin

// Point Éphémère
200 Quai de Valmy, Paris 10e / M° Jaurès
Entrée libre



En raccord(s) avec
Hula hoop #3
de Tom de Pekin
Éditions Solo ma non troppo, 2019



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mardi 21 avril 2020

concert & lecture / à 20h


Le jazz en colère

À l’occasion de la réédition de nombreux textes des « jeunes hommes en colère », courant littéraire et cinématographique de l’Angleterre d’après-guerre, les éditions du Typhon vous invitent à entrer dans l’écriture de John Wain, imprégnée de mélodies jazz, par une lecture d’un de ses romans phare, Et frappe le père à mort, relevée d’improvisations jazz au piano et au trombone. Lecture par Ferdinand Pierrot, comédien ; impros jazz par Clément Garnault au trombone et Julian Caetano au piano.

Las de l’éducation rigoureuse que lui impose son père, austère professeur de latin et grec, le jeune Jeremy Coleman découvre les ailes de la liberté à travers le piano jazz… il fugue du foyer paternel vers une vie pleine d’improvisations et de syncopes, dans un Londres ravagé par les bombardements nazis. Un soir, il fait la connaissance de Percy Brett, un tromboniste noir américain. Une rencontre qui bouleverse son existence... Mené sur un rythme trépidant qui épouse la sensualité du jazz, Et frappe le père à mort interroge les tensions générationnelles avec un regard perçant.

// Le Piano Vache
8 rue Laplace, Paris 5e / M° Cardinal Lemoine
Entrée libre



En raccord(s) avec
Et frappe le père à mort
de John Wain
Éditions du Typhon, 2019



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mercredi 22 avril 2020

conférence / à 10h


Traduire les langues rares

Comment un texte étranger parvient-il à paraître en France ? Quel long parcours doit-il suivre avant d’atterrir dans les mains des lecteurs francophones ? Cette rencontre professionnelle, faisant intervenir éditeurs, traducteurs, auteurs et étudiants, a pour vocation d’expliciter le lien de travail entre l’éditeur et le traducteur, la façon dont naissent les projets de traduction, quel est le rôle de chacun dans le travail préparatoire du texte et dans sa diffusion. Ces questions seront particulièrement abordées à l’aune de la traduction de langues non occidentales.

Avec les interventions de : - l’écrivain grec Kostis Maloùtas et le traducteur Nicolas Pallier, dont le roman Une fois (et peut-être une autre) est paru aux éditions do - les éditeurs Benoît Verhille et Anna Rizzello, créateurs de la collection d’essais Contrebande consacrée à la traduction et initiateurs du festival lillois D’un pays l’autre - Isabella Checcaglini, éditrice et fondatrice de la maison d’édition Ypsilon - Odile Belkeddar, traductrice du russe et spécialiste de la littérature jeunesse - le collectif de la revue Café et Nathalie Tournillon, co-créatrice de la revue Graminées.

// INALCO (salle 3.15)
65 rue des Grands Moulins, Paris 13e / M° Bibliothèque François Mitterand
Entrée libre



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mercredi 22 avril 2020

lecture musicale / à 20h


Lettres égyptiennes

Roman épistolaire, histoire d’amour dans la grande Histoire, Égypte 51 retrace les événements qui ont secoué le pays à la suite, notamment, de la nationalisation du Canal de Suez. La romancière Yasmine Khlat et le comédien Carlos Chahine prêtent voix aux deux personnages du roman, Mia et Stéphane, accompagnés par la pianiste et compositrice Macha Gharibian.

1951, au bord du Canal de Suez… Le roman s’ouvre sur une première lettre de Stéphane, médecin, adressée à la jeune Mia qu’il a rencontrée lors d’un déjeuner chez ses parents au Caire. Épris d’elle, il s’empresse de lui demander sa main. Au cours d’un long échange épistolaire, du Caire à Ismaïlia, ville au bord du canal de Suez où vit Stéphane, le médecin tente de convaincre Mia de devenir sa femme, ce à quoi elle résiste. Puis surviennent les évènements de 52 et, en 56, la nationalisation du Canal et la guerre qui vont bousculer les existences des deux êtres.

// Maison de la Poésie
157 rue Saint-Martin, Paris 3e / Métro Rambuteau
Entrée : 10€ tarif plein / 5€ adhérents à la Maison de la poésie (préventes ici)



En raccord(s) avec
Egypte 51
de Yasmine Khlat
Éditions Elyzad, 2019



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jeudi 23 avril 2020

lecture musicale / à 19h


Poésie des pierres

Cent ans après sa première publication, la nouvelle de Virginia Woolf, Objets massifs est revisitée par les plasticiennes Anne Attali et Marie Van Roey. La lecture par Miguel Decleire accompagnée au violon par Maxime Stasyk, entrera en résonance avec les photographies, dessins et collages exposés pour l’occasion en regard des minéraux du Musée de Minéralogie.

Deux jeunes hommes, à l’orée de leur carrière, se tiennent sur la plage, visiblement en désaccord et en grand débat politique. L’un d’eux met la main sur un trésor : un morceau de verre poli, dense, lisse, doux, qui l’intrigue. Cet objet sera le point de départ de sa nouvelle quête. La matière devient sujet, objet de convoitise, elle se fait verbe et cristallise une rêverie, un poème du quotidien. Cette nouvelle écrite en 1920 par Virginia Woolf trouve un nouveau souffle grâce aux deux artistes plasticiennes qui par leurs photographies, collages et montages offrent une nouvelle lecture de ce texte d’une étonnante actualité.

// Bibliothèque des Mines
60 boulevard Saint-Michel, Paris 6e / RER Luxembourg
Entrée libre



En raccord(s) avec
Objets massifs
de Virginia Woolf
Éditions Esperluète, 2020



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vendredi 24 avril 2020

conférence performée / à 20h


Le double en littérature

Un événement a ému le monde littéraire en 2019, lorsque deux romans racontant la même histoire sont parus simultanément : l’un écrit par le romancier irlandais Samouïl Ascott, et l’autre par l’écrivain grec Kostis Maloùtas. Pour tenter d’expliquer l’énigme de ces romans jumeaux, Kostis Maloùtas et son traducteur Nicolas Pallier, en compagnie de l’écrivain argentin Edgardo Scott, évoqueront la possibilité du double en littérature et rendront ainsi hommage à Samouïl Ascott, disparu en 2013. Lectures par le comédien Alexandre Cardin. Rencontre animée par Julien Delorme.

(x) fois et Une fois (et peut-être une autre) racontent – justement – l’histoire d’un cataclysme littéraire survenu lorsque fut mise au jour une vertigineuse coïncidence : deux livres au titre et à l’intrigue en tous points identiques, avaient été publiés presque au même moment, dans deux langues différentes. Mais deux hommes, étrangers l’un à l’autre, peuvent-ils réellement avoir écrit le même roman ? Explorant avec humour et autodérision les affres de la création littéraire et du battage médiatique qui l’entoure, les deux textes jouent sur une esthétique de miroirs infinis et de textes gigognes.

// Centre culturel irlandais
5 rue des Irlandais, Paris 5e / M° Place Monge
Entrée libre



En raccord(s) avec
Une fois (et peut-être une autre)
de Kostis Maloùtas
Éditions do, 2019



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samedi 25 avril 2020

atelier mail art / à 15h


Voyages à poster

Dans son dernier album Lola sur le rivage, l’autrice et illustratrice Teresa Arroyo Corcobado invite les jeunes lecteurs à suivre Lola dans son déménagement vers des archipels d’îles des pays nordiques, avec sa mère factrice qui distribue le courrier en bateau. A partir de découpages et de collages, de peinture, de tampons et de marqueurs, l’artiste propose aux enfants de découvrir le mail art et de raconter en images leur voyage idéal ou souvenir de voyage, sur une carte ou une enveloppe... envoyées à la fin de l’atelier à un destinataire choisi, parents ou amis.

L’histoire commence sur l’image d’une voiture qui descend vers la mer bleu sombre d’un paysage nordique, après le départ de Lola d’une ville aux immeubles serrés. Comment se sentir à nouveau chez soi dans un décor si différent, si étranger ? Comment s’approprier ces nouvelles couleurs pour les faire siennes et s’y sentir chez soi ? Un livre sur le déracinement, la peur de l’inconnu, mais aussi sur le rêve et l’évasion.

// Musée de la Poste
34 boulevard de Vaugirard, Paris 15e / M° Montparnasse
Entrée libre



En raccord(s) avec
Lola sur le rivage
de Teresa Arroyo Corcobado
Éditions Versant sud, 2019



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samedi 25 avril 2020

conférence / à 17h


Conférence anti-auto

Pour introduire le roman-documentaire sur la naissance de l’industrie automobile Dix chevaux vapeur, écrit en 1930 par Ilya Ehrenbourg et réédité en 2019 par les éditions Héros Limite, le journaliste Pierre Thiesset, spécialiste de la décroissance et éditeur entre autres d’une anthologie des textes et images faisant état de la controverse qui accompagne les débuts de l’automobile, fera un tour d’horizon de l’histoire de la résistance à l’automobile, qui n’a pas toujours incarné que la mythique « Déesse ».

Écrivain et journaliste russe exilé à Paris, Ilya Ehrenbourg publie en 1930 Dix chevaux vapeur, un roman documentaire retraçant la naissance de l’industrie automobile, à l’heure où la Tour Eiffel se pare du nom de Citroën, emblématique de la fascination pour ce nouveau moyen de transport et d’émancipation qu’incarne la voiture. Mêlant enquêtes, témoignages, petites et grande histoires, le texte remet en perspective l’aliénation humaine du travail à la chaîne dans les usines, l’extraction du pétrole et du caoutchouc dans les colonies, les morts causées par les accidents et l’illusion néfaste que la vitesse rend l’homme plus libre.

// Le Lieu-Dit
6 rue Sorbier, Paris 20e / M° Ménilmontant
Entrée libre



En raccord(s) avec
10 CV Dix chevaux vapeur
d'Ilya Ehrenbourg
Éditions Héros Limite, 2019



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samedi 25 avril 2020

lecture théâtrale / à 20h


Coup de théâtre aux Catacombes

Autour d’un texte absurde aux accents beckettiens, écrit par l’écrivain argentin Pablo Katchadjian, où ni les personnages, ni l’auteur, ni le lecteur ne semblent pouvoir savoir où ils se trouvent, les comédiennes Anna Jacob et Laure Lefort proposent une mise en voix déstabilisante et fascinante dans la pénombre des célèbres Catacombes.

La Liberté totale de l’écrivain argentin Pablo Katchadjian est un texte caméléon qui emprunte au théâtre, à l’opéra, à la fable, à la comédie, au dialogue socratique… en bouleversant les codes de la narration. Deux hommes-lettres, appelés A et B, sont contraints par C et D de chercher une solution à l’équation : Liberté = Totale. Ils la trouvent en tuant leurs geôliers, puis prennent la fuite à travers un monde nébuleux à la Lewis Carroll, dans une quête éperdue : où aller quand on est libre ?

// Catacombes de Paris
36 rue Rémy Dumoncel, Paris 14e / M° Denfert-Rochereau
Entrée libre



En raccord(s) avec
La liberté totale
de Pablo Katchadjian
Éditions Le nouvel Attila, 2018



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dimanche 26 avril 2020

dégustation & rencontre / à 12h


Voyage des papilles

Alessandra Pierini est italienne et épicière à Paris, Sonia Ezgulian est d’origine arménienne et cuisinière à Lyon. Elles partagent la même passion des beaux produits et ont décidé de partir ensemble aux sources des pâtes, à Gragnano et à Naples dont elles relatent le périple dans un livre : La pasta allegra. Alessandra Pierini invite les festivaliers à découvrir l’art de vivre à l’italienne autour de recettes extraites du livre – cuisinées par leurs soins – et à déguster des produits italiens autour d’un verre de vin de l’Etna.

Sonia Ezgulian et Alessandra Pierini ont voulu un livre pointu dans les produits, accessible dans les recettes, reflétant leur complicité et le bonheur d’avoir mené ce projet ensemble, avec l’éditrice de leur cœur. Elles signent ensemble un ouvrage atypique, à mi-chemin entre le recueil de recettes et le carnet de voyages, ponctué par des dessins, collages et photographies. Elles confient leurs meilleures adresses de restaurants et de marchés pour découvrir les produits italiens indissociables des pâtes tels que les anchois de Cetara, les tomates du Vésuve et les citrons d’Amalfi.

// Librairie des Éditeurs associés
11 rue de Médicis, Paris 6e / M° Luxembourg ou Odéon
Entrée libre



En raccord(s) avec
La Pasta allagra
d'Alessandra Pierini et Sonia Ezgulian
Éditions de l'Epure, 2019



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dimanche 26 avril 2020

marahon de lectures / à 14h


Clôture du festival

C’est devenu une tradition du festival : les Éditeurs associés invitent le public du festival et les curieux, les promeneurs du dimanche (et les promeneurs du dimanche curieux), à donner voix aux textes que nous aurons sélectionnés parmi les livres présentés au cours du festival. L’occasion de braver sa timidité et de montrer ses talents de lecteur au micro, dans une atmosphère conviviale et chaleureuse, avec des interludes musicaux entre chaque texte. Lisez, dansez !

 

// Kiosque du jardin du Luxembourg
Entrée boulevard Saint-Michel, Paris 6e / M° Luxembourg ou Odéon
Entrée libre



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