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• 27 mars — lecture musicale — Du verre aux vers
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mercredi 27 mars 2019 Lecture musicale / à 19h
Mise en voix et en musique de L’encrier revanche de Robert Rapilly paru aux éditions Invenit, par la compagnie L’humeur vitrée : Martin Granger au clavier, Céline Malorey au chant et Robert Rapilly à la récitation. Lecture suivie d’une visite du Musée de Minéralogie, en résonance avec le matériau phare de la soirée : le verre. Robert Rapilly, poète la plupart du temps et parfois plasticien, s’est intéressé aux «bousillés», ces créations d’ouvriers verriers des collections du MusVerre dans le nord de la France, réalisées pendant leur temps de loisir pour témoigner de leur savoir-faire exceptionnel. Parmi ceux-ci, une série de faux encriers, appelés «encriers revanche». En se saisissant d’un de ces encriers, l’auteur en a extrait un pantoum, forme de poème remise à l’honneur par l’OuLiPo, l’Ouvroir de Littérature Potentielle cher à Raymond Queneau. Cinq poèmes délimitent ce pantoum, forme paradoxale, partiellement cyclique, qui se veut en phase avec la boule de verre qui tourne et se transforme. La résonance entre le sujet de son texte et la facture du poème, tournant et se transformant, dit la beauté plastique autant que l’ingéniosité technique de cet encrier. // Musée de Minéralogie / Mine ParisTech 60 boulevard Saint-Michel, Paris 6 // RER Luxembourg Entrée libre |
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L'encrier revanche
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Conférence-rencontre / à 19h30 L'inquiétante étrangeté En 1919, Sigmund Freud fait paraître un texte fondateur pour la psychanalyse, sous le titre de Das Unheimliche, traduit en français par «l’inquiétante étrangeté», réédité par les éditions Interférences, en regard de photomontages de l’artiste Paula Jiménez. Au cours de sa formation de psychologue, Paula Jiménez s’intéresse au concept d’inquiétante étrangeté et réalise une série de photomontages en résonance avec les manifestations du phénomène dans la vie quotidienne et la littérature. Elle présentera avec son éditrice Sophie Benech ses œuvres et la façon dont elles ont été conçues. Justine Arnal, psychologue et auteure (Les corps ravis, publié aux éditions du Chemin de fer), décryptera ce concept, qui décrit un sentiment d’angoisse né de ce qui est le plus intime ou familier.
Entrée libre |
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En raccord(s) avec L'inquiétante étrangeté de Sigmund Freud, 2009. Photomontages de Paula Jiménez. Éditions Interférences |
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samedi 6 avril Conférence et rencontre / à 18h30 L'identité dans l'art
Comment se construit une œuvre artistique à l’aune de l’identité? Genre et orientation sexuelle peuvent-ils, à leur manière, guider l’expression artistique? Avec son texte Macadam Butterfly (éditions Rue des promenades), Tara Lennart explore l’époque, les genres et l’inscription dans la société, entre irrévérence et tendresse. En seize instantanés, elle suit des trajectoires et des moments de vie. Marc Kiska photographie des hommes dans des décors et des mises en scène parfois sombres, souvent oniriques, rappelant les jeunes garçons sauvages et perdus de son premier roman Les Vestiges d’Alice (éditions Tabou).
// librairie Violette and Co Entrée libre |
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En raccord(s) avec Macadam Butterfly de Tara Lennart, 2019. Éditions Rue des promenades.
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mardi 9 avril Lecture performée / à 20h Le Nord du Monde
Création littéraire et musicale unique de l’auteure Nathalie Yot et du guitariste Sébastien Maury autour du roman Le Nord du Monde, paru aux éditions La Contre Allée. Le Nord du Monde est le récit de la fuite éperdue d’une femme vers le Nord, errance qui l’emmène à Lille, en Belgique, à Amsterdam... jusque dans les fjords norvégiens. Un texte qui interroge la limite, des frontières géographiques comme des frontières psychologiques. « Je cherche la limite, toutes les limites. Celles qui partagent, celles qui disent de quel côté je suis l’étrangère, où je mets les pieds, où je dépasse... »
// La péniche du Petit Bain Entrée libre |
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Le Nord du monde
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Atelier / à 15h Champs libres de Gwen Le Gac
L’illustratrice et artiste Gwen Le Gac a créé une série de photomontages de cartes postales, dans l’idée de donner libre cours à son envie de redessiner les lieux, les géographies, les paysages. Incidemment, elle s’aperçoit qu’elle crée malgré elle un palimpseste de mots à partir de ceux rédigés au verso des cartes postales. Son travail paraît sous forme d’un livre d’artiste intitulé champs libres, publié par les éditions Solo ma non troppo. Gwen Le Gac propose au public un atelier de photo collage : à partir de paysages idylliques de cartes postales, elle invite à créer un ailleurs rêvé, nostalgique ; une sorte de paysage mental, un lieu réel ou imaginaire. Parallèlement, une sélection de ses œuvres est exposée dans les coursives autour du jardin de la médiathèque, du 5 au 21 avril.
// Médiathèque Françoise Sagan Entrée libre |
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En raccord(s) avec Champs Libres
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mercredi 10 avril Projection et rencontre / à 19h Habiter en lutte
Projection du film documentaire Les pieds sur terre de Batiste Combret et Bertrand Hagenmüller sur le Liminbout, hameau en lutte à Notre-Dame-des-Landes, suivie d’un échange avec trois auteurs du livre Habiter en lutte du collectif comm’un, publié par les éditions le passager clandestin. La zad de Notre-Dame-des-Landes est devenue le plus grand squat à ciel ouvert d’Europe. Utopie réalisée pour certain.e.s, espace de rencontres et critique en acte du capitalisme, elle n’a pas fini de soulever les passions. // Les Grands Voisins Entrée libre |
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En raccord(s) avec Habiter en lutte
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jeudi 11 avril Rencontre professionnelle / à 10h Mots et images
Comment s’articule le rapport entre le texte et les images dans un livre illustré ? Après une introduction resituant l’histoire du livre illustré, ses enjeux et ses évolutions au cours du temps, la matinée sera ensuite éclairée par les expériences de différents acteurs du monde de l’édition mêlant mots et images dans les ouvrages qu’ils publient. Avec François Grosso et Renaud Buénerd (Chemin de fer), Pierre Gaudin (Créaphis), Anne Leloup (Esperluète), Geneviève Hergott (Solo ma non troppo).
Entrée libre |
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jeudi 11 avril Spectacle et rencontre / à 20h
Et si... on s'exprimait sans mot
La compagnie Le Cercle Karré et les éditions Voce Verso proposent une découverte du théâtre visuel (ou sans paroles), suivi d’un échange entre Fabrice Eveno, le metteur en scène, et Sophie Tran Van, l’éditrice, sur la narration sans les mots. La collection «Albums sans texte» des éditions Voce Verso propose des histoires à lire par l’image, laissant parler librement l’imaginaire des enfants (et de leurs parents). Exploration des mondes souterrains, terrestres ou marins, figuration des peurs enfantines, quotidien d’une enfant malentendante... Les spectacles de la compagnie Le Cercle Karré (lecerclekarre.com) ont pour particularité de s’abstenir du texte, les comédiens ne faisant entendre leurs voix que par leurs respirations et quelques onomatopées. La rencontre de ces deux univers créera un lien où questions existentielles ou sujets plus légers se croiseront au-delà des mots. Le spectacle Et si... est joué par les comédiens Frédéric Adolphe, Ruddy Arnou, Antonio Espirito Santo, Méléhane Girerd, Anita Marin, Maxime Chedotal.
// Le 100, Etablissement Culturel Solidaire Entrée libre |
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Éditions Voce Verso
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vendredi 12 avril Lecture Bilingue Français-Espagnol performée / à 19h Contre les bêtes / Contra las bestias
Contre les bêtes est un cri de rage et de colère devant la domination de l’homme sur les autres espèces et la destruction du monde. Un monologue plein d’ironie qui met le langage en première ligne. Jacques Rebotier, artiste majeur de la scène contempo- raine française, met la parole à nu et la réhabille pour nous montrer, pleine face pleine vitesse : la sixième vague d’extinction des espèces. Contre les bêtes / Contra las bestias est publié en bilingue (franco-espagnol) aux éditions Le Nouvel Attila et Ediciones El Milagro. Le spectacle a été créé au Mexique le 6 octobre 2018 par Odille Lauría dans une mise en scène de l’auteur. À l’occasion d’une journée « Littérature et environnement » proposée par la Fondation Deutsche de la Meurthe, première fondation de la Cité internationale universitaire de Paris, Odille Lauría et Jacques Rebotier nous offrent un deux-en-un jouissif, qu’on aime le français, l’espagnol ou los dos.
// Fondation Deutsche de la Meurthe - Cité Universitaire de Paris Entrée libre |
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Contra las bestias / Contre les bêtes
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vendredi 12 avril Projection et rencontre / à 20h30 Dans les coulisses des Oiseaux
Projection du film Les Oiseaux d’Alfred Hitchcock suivie d’une rencontre avec Louis- Stéphane Ulysse, auteur du roman Harold qui retrace l’histoire du tournage du célèbre film, racontée du point de vue d’un des corbeaux, fasciné par l’actrice principale Tippi Hedren. La rencontre sera animée par Thierry Jousse, critique de cinéma et réalisateur. En 1961, sur la côte Ouest des États-Unis, le dresseur d’oiseaux Chase Lindsey recueille un corbeau blessé, nommé Harold. Quand en 1962, Ray Berwick cherche des oiseaux pour le tournage d’un film d’Alfred Hitchcock, il engage Chase et Harold. Lorsque ces derniers rencontrent l’actrice, Tippi Hedren, ils sont immédiatement fascinés par la jeune femme... Par le biais de la fiction, Louis-Stéphane Ulysse plonge dans les coulisses du tournage de ce film devenu mythique et donne à voir la part sombre de son réalisateur.
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↑ haut de page | En raccord(s) avec Harold
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samedi 13 avril Projection et rencontre / à 11h En mémoire de Gerda Taro
Projection du film documentaire La Valise mexicaine de Trisha Ziff, récit de la découverte d’une valise de négatifs de photographies de Gerda Taro, Robert Capa et David Seymour, suivie d’une rencontre avec Pierre-François Moreau, auteur du roman Après Gerda publié aux éditions du Sonneur. L’allemande Gerda Taro et le hongrois Robert Capa ont été deux vedettes de la photographie de guerre au début du siècle. Leurs reportages ont fait connaître la réalité des combats de la guerre d’Espagne au grand public et ont été publiés dans de nombreux journaux de l’époque. Ils se rencontrent à Paris dans les années 30. Lors d’un reportage sur les combats autour de Madrid en 1937, Gerda Taro est tuée. Tandis qu’elle tombe petit à petit dans l’oubli, Robert Capa poursuit sa carrière et devient une légende de la photographie de guerre, connu notamment pour avoir co-fondé l’agence Magnum. En 2008, une valise contenant 4 500 négatifs des photographies de Capa et Taro (et de David Seymour) est retrouvée au Mexique, inaugurant la réapparition de Gerda Taro au panthéon des photographes.
// Cinéma du Panthéon Entrée à 6,50 € |
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En raccord(s) avec Après Gerda de Pierre-François Moreau Éditions du Sonneur, 2018
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samedi 13 avril Ateliers plastiques, jeux et lecture / à 11h / pour les 3-6 ans L'illustration en mouvement
La Maison des Petits du Centquatre accueille l’illustratrice Barbara Martinez autour d’une rencontre joyeuse pour les enfants de 3 à 6 ans. Par la pratique plastique, le jeu et la lecture, l’auteure convoque la créativité des familles, telle une chorégraphie qui s’invente in situ. L’illustratrice Barbara Martinez, qui aime jouer des matières textiles et pratique la gravure, propose aux enfants une immersion ludique dans l’univers de son dernier album, Le petit magicien, l’histoire d’un apprenti magicien qui s’emmêle dans ses formules magiques. Triomino géant, puzzle mural, arbre à décorer, créés pour l’occasion, permettront une approche ludique de la lecture de trois albums de Barbara Martinez, parus aux éditions Points de suspension : Fasoldofa, Monsieur Hibou et Le petit magicien. Les ateliers seront suivis d’une séance de dédicace à la librairie 0FR, dans le bâtiment du 104.
// Maison des Petits du Centquatre Entrée libre |
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En raccord(s) avec Le petit Magicien de Barbara Martinez, 2019. Éditions Points de suspension
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Dessin et rythmes acquacoustiques / à 15h Se jeter à l'eau
Pour fêter la parution de son album Se jeter à l’eau, l’illustratrice Geneviève Casterman et les éditions Esperluète invitent petits et grands à jouer avec l’élément aquatique, autour d’un atelier de percussions avec la Cie Aquacoustique et d’un atelier de croquis au bord du bassin. À la piscine, c’est un peu comme dans la vie : on commence tous par se jeter à l’eau. L’album Se jeter à l’eau déroule sous la forme d’un livre-accordéon une longue piscine sous nos yeux, de la petite à la grande profondeur. Du nageur assuré à l’apprenti plongeur, ils sont tous là pour nager, chacun à sa manière. Alors que papillonnent sous nos yeux plus de 150 nageurs, Geneviève Casterman nous plonge dans ses pensées, celles qui flottent à la surface de sa tête au cours d’une séance de longueurs.
Entrée libre |
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En raccord(s) avec Se jeter à l'eau de Geneviève Casterman, 2008. Éditions Esperluète |
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Lecture projetée / à 19h Pour parler
Frank Smith et Julien Serve reproduisent sur scène le procédé de création mis en œuvre pour le recueil de textes sur le langage, Pour parler, paru aux éditions Créaphis. Tandis que l’auteur, Frank Smith, lira ses sonnets, Julien Serve improvisera des formes dessinées projetées sur le fond de la scène. Frank Smith écrit. Et dessine aussi. Julien Serve dessine. Et écrit aussi. Tous deux sont constamment inspirés par le monde, par ce qui s’écrit en continu sur lui, par l’information. Pour parler est né de leur rencontre. Julien Serve dessine «sur» les sonnets, ou mieux encore, autour. Et pour lui, la main produit de la pensée.
// Maison de la poésie Entrée libre |
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samedi 13 avril Lecture musicale / à 20h30 Des routes
Lecture à quatre voix du texte, paru aux éditions du Chemin de fer, Des routes de Carole Zalberg, récit d’une mère à sa fille sur sa rencontre avec une jeune migrante au tra- vers d’une pierre rouge retrouvée dans sa boîte à bijoux. Aux voix des personnages se mêlent des interludes musicaux, à la cithare et aux percussions. Carole Zalberg sait trouver les mots pour évoquer, avec grâce et simplicité, l’un des sujets les plus brûlants de l’Europe d’aujourd’hui. Alternant le dialogue mère-fille et le monologue d’Azria, Des routes met en évidence la difficulté d’expliquer et de justifier notre indifférence face à ceux qui ont tout quitté pour tenter d’échapper à la terreur ou à la misère. Avec Fane Desrues (Azria), Marie-Louise Duthoit (la mère), Gabrielle Godin-Duthoit (la fille), Shadi Fathi (cithare et percussions), Carole Zalberg (narration) dans une mise en scène de Melha Mammeri Bossard. Entrée libre |
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En raccord(s) avec Des routes de Carole Zalberget Anne Gorouben Éditions du Chemin de fer
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dimanche 14 avril pique-nique / à 12h30 Pique-nique
Les Éditeurs associés vous convient à leur traditionnel pique-nique du Festival, dans leur librairie juste en face du jardin du Luxembourg. Un moment convivial et gourmand pour échanger autour des découvertes réalisées tout au long de la semaine. C’est aussi et surtout l’occasion de découvrir les livres de plus d’une quarantaine d’éditeurs indépendants et de rencontrer des auteurs, illustrateurs et éditeurs.
// La librairie des Éditeurs associés Entrée libre |
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Rencontre / à 13h30 A la recherche du Mokélé-Mbembé
Rencontre avec Yannick NorY, auteur-illustrateur, et Fanny Deschamps, éditrice, autour de L’expédition du Mokélé-Mbembé paru aux éditions Versant Sud, dont les illustra- tions sont exposées à la librairie du 13 mars au 14 avril. Édouard Marlaud, zoologue, quitte son musée d’Histoire naturelle pour partir en expédition au Congo. Il veut y trouver les preuves de l’existence d’un monstre légendaire, le Mokélé- Mbembé. Arrivé en Afrique, il s’enfonce dans la jungle avoisinant les affluents du fleuve Congo. Il y photographie la faune et se désespère de ne jamais voir le Mokélé. Or, la redoutable créature est bien là, tout près! Mais, à chaque fois, le zoologue la prend pour un autre animal: lorsqu’il voit ses pattes, il croit voir celles d’un éléphant, sa queue devient un serpent, son corps celui d’un hippopotame...
// 11 rue de Médicis, Paris 6e // RER Luxembourg |
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En raccord(s) avec
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Lecture croisées / à 15h Lecture au Kiosque du jardin du Luxembourg
Du transport urbain au transport amoureux, laissez-vous transporter par les mots, les images, les sons... Découvrez des pays enivrants, arpentez des sentiments inconnus et laissez-vous bercer par les lectures croisées qui vous feront découvrir ou redécouvrir les catalogues des éditeurs du festival, dont les noms eux-mêmes semblent inviter au voyage : le Chemin de fer, Rue des promenades, le passager clandestin... Nous vous concoctons une sélection de textes qui évoquent le voyage, le déplacement : Passagers de Ludovic Flamant et Jeroen Hollander (Esperluète), À l’approche de Virginie Gautier et Renaud Buénerd (Chemin de fer), Accident de personne de Guillaume Vissac (Nouvel Attila / Othello), Chez Adama, mécanique générale de Véronique Vernette (Points de suspension), Cinq ans de métro de Fred Alpi (Libertalia)... et bien d’autres!
// Kiosque du Jardin du Luxembourg |
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mardi 28 mai Rencontre / à 20h Fanzines à gogo...
Loin de l’effet incantatoire et de l’auto-consécration, nous affirmons que oui. Pourquoi, comment et par qui ? Si les réponses à ces questions vous interpellent alors, voilà une excellente raison de vous embarquer avec nous pour une soirée dans les entrailles de ces éditions insolentes et étonnantes. |
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