Geneviève Casterman croque un panorama insolite de ce bord de mer atypique. Elle observe, analyse et restitue des moments de vie, entre plages, casinos, immeubles et dunes. Amis, parents, enfants... sont surpris sur les lieux de leurs vacances, jeux, découvertes, exploits ou souvenirs.
Après avoir posé, dans Rue de Praetere, un regard tendre et amusé sur son voisinage, après E 411, qui lorgne les faits et gestes des utilisateurs de l’autoroute reliant Luxembourg à Bruxelles, Geneviève Casterman s’attarde cette fois sur la non moins célèbre côte belge et ses estivants.
Une plongée dans ce qui pourrait bien être le dénominateur
commun des enfants d’hier et d’aujourd’hui.
EXTRAIT :
Le Cap Blanc-Nez est plus branché, la côte d’Opale est moins banale,
la côte normande plus excitante. La côte picarde est moins ringarde,
la côte d’émeraude plus à la mode la côte du Vent dans l’air du temps.
La côte sauvage est plus fleurie, la côte fleurie est plus sauvage,
la côte d'Azur, ensoleillée,…
La mer du Nord, son Mercator, son James Ensor et son rat mort
ses châteaux forts, ses ports, ses phares, ses sémaphores
ses boutiques, ses restaurants panoramiques,
ses Freddy, ses Candys, Melody, ses Jef, ses Jacq, ses Jan, ses Jos,
son Jaco, Mariano, son Arno, San Marino et Marina
et son tram longiligne qui travelling le long de l’eau…