
Un enfant. Un mort. Une série de désastres. L'enfant porte les noms du mort. Il s'en rend compte comme il entre à l'internat, comme il change de langue. Une ligne blanche régulièrement repeinte traverse la cour de l'école. D'un côté les filles, de l'autre les garçons. Son père, camionneur, vient le chercher les jours de sortie. La maison est son camion.